*voilà l'bidule que j'ai écrit vendredi soir, Max a pu en lire la première partie, beaucoup de trucs à revoir mais j'vous met le texte tel quel*
Si c'est pas des rats qui mebouffent c'est sûrement les regrets encastrés dans ma capitale, dans le bastion innébranlable de l'organe ambigu.
De la lumière il ne reste rien, j'ai fermé la porte.
Je me hérisse de faux semblants à la gloire du paaître bien.
Si ce n'était qu'un regard, il ne résonnait que de fables volatiles.
C'était l'alcool qui suintait de mespupilles à tes pupilles, de ton silence à mes fuites, du laisser aller au non-sens.
Mes membres n'étaient pas engourdis, ce n'était pas le froid, c'était l'abandon.
C'était simplement l'abandon.
Nos codes mal déchiffrés n'entraient pas en adéquation. La peur nébuleuse s'était épaissie, et puis tu dormais.
Abruti par l'ivresse, par l'automne qui ressucite, par le retour de flamme, j'en avais oublié ta beauté.
J'avais simplement oublié ta beauté.
Mais il avait toujours été trop tard pour postuler à la prétentio de t'appartenir, puisque le reste autour se riait du moi qui s'envenime, de l'orgueil mal étreint.
Mon retrait solennel sous forme d'à peu près simule le mépris, l'indifférence. Mon caractère d'imprimerie est trop mécanique pour ne pas céder à l'anachronie.
Tes bras n'étaient pas des parenthèses, ils n'étaient que des points de suspension.
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