Synéthisme.
L’air évolue alors
Vers nos deux entités,
Les révolus
S’envolent
Tous électrocutés.
Les papillons de chair jettent leur dévolu
Sur notre identité,
Voulant quitter,
Mes rues
Tes larmes dérayées
(Mes charmes enrayés
De déjà-vu
Ratés.)
Nos yeux qui s’entretuent
Leurs pas
Qui s’entremêlent,
Les cris exécutés que l’écho perpétue,
Notre amour substantiel.
La passion séquentielle aux toiles aperçues,
Le long des irréels,
Ces routes inconnues.
Et le tissé des soirs,
A l’harmonieux
Soupir,
S’évade au cœur pluvieux,
De nos vastes désirs
En plaisirs
Délicieux.
01/01/2007