S'il vous plait laissez moi vivre le cadavre que j'ai au fond du ventre.
Je ne dois pas lui laisser ouvert le chemin de mes entrailles. Et pourtant il a contaminé l'intégralité de ce tombeau, tapissant de dégout chaque centimètre de chair et d'os, perforant de ses ongles les membranes fragiles de mes artères dillatées par du whisky sans glaçons, nocturne, et destructeur d'idéal.
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